Une histoire d'amitié grâce à des rencontres improblables !
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Une histoire d'amitié grâce à des rencontres improblables !
Un vieux sage, qu'on consultait parfois car il était de bon conseil, reçut coup sur coup chez lui six visiteurs venant de milieux bien différents, mais avaient comme point commun qu'ils n'étaient pas heureux dans leur vie. Cette fois, malgré ses recommandations, le vieux sage se rendit compte très vite qu'il perdait son temps avec eux, que leur bonheur ne reviendrait pas et que les résolutions à suivre, si judicieuses soient-elles, étaient stériles et donc inutiles. Alors, un peu agacé par les plaintes incessantes, malgré l'affection qu'il leur portait au fond, il se décida à faire une petite expérience en les réunissant un soir. Au rendez-vous fixé, arrivèrent un aveugle, un jeune sourd en fauteuil roulant, un SDF, un riche veuf possédant un gigantesque manoir, un réfugié ayant débarqué d'un pays lointain et un chrétien ayant perdu la foi. Le vieux sage les réunit dans la même salle en demandant à chacun de raconter ses malheurs devant tous les autres, tout en précisant que leur tristesse commune pouvait être au final une chance extraordinaire pour découvrir un autre chemin de vie.
Tout le monde s'étant bien installé, le vieux sage se leva en leur disant qu'il ne pouvait hélas plus rien pour eux et il quitta la pièce. Cependant, avant qu'il ne ferme la porte derrière lui, il leur précisa simplement qu'à eux tous ils pouvaient sans doute résoudre les problèmes de chacun et qu'il existait bien une solution commune, mais qui dépendait pour la mettre en place, que de leur seule volonté, afin de ne pas repartir encore une fois dans la désespérance et la solitude. Désemparés devant l'attitude du sage, ils se regardèrent un peu étonnés, en se demandant ce qui leur arrivait. Incroyable, ce vieux sage les laissait tomber comme résigné et, croyaient-ils, apparemment indifférent à leurs problèmes.
Après un moment de stupeur, l'aveugle se mit à parler le premier en confiant son désespoir de ne pas voir, d'être en quelque sorte coupé du monde puisqu'il n'osait pas sortir de chez lui avec sa canne blanche de peur de subir l'agression d'un monde qu'il jugeait hostile, dangereux. Le jeune malentendant en fauteuil roulant, seul lui-aussi, pouvait difficilement circuler et ne pouvait capter aucune conversation, aucun bruit, de ce fait il restait cloîtré chez lui à se morfondre. Le SDF errait seul en subissant le froid de l'hiver, car la rue était sa maison, son terrain de jeu. Du monde, il en voyait passer, disait-il, mais jamais personne ne s'arrêtait près de lui pour s'intéresser à son sort, il ne trouvait plus de sens à sa vie et avait même penser à en finir !
Quant au veuf, riche et grand propriétaire, il tournait en rond, disait-il, dans sa gigantesque demeure car il n'avait plus de famille, plus d'amis. Un peu avare, il ne recevait personne et se plaignait que son manoir coûtait cher en entretien et que cela pesait sur sa fortune. Le réfugié, qui avait fui son pays à cause de la guerre et demandait l'asile, était rejeté par tout le monde parce qu'il était différent et surtout personne ne voulait l'accueillir par peur ou par haine aussi. Quant au chrétien à la foi vacillante, il avait beaucoup prié dans sa vie, il était honnête et avait toujours été très pratiquant, mais quelque chose s'était cassé en lui qu'il pouvait difficilement expliquer.
Puis, après un long temps d'échanges entre eux, l'homme sourd sur le fauteuil roulant se mit à sourire en s'adressant à l'aveugle : "Si tu me donnais ton adresse, je pourrais venir te visiter et nous sortirions ensemble au dehors, je serais tes yeux et tu serais mes oreilles !" Le riche veuf s'adressa au SDF en lui disant qu'il était bien seul dans son grand manoir et qu'il se proposait de le loger pour l'aider à sortir de la rue. "Mais au fait, je pourrais aussi t'accueillir, toi l'étranger qui est rejeté par tous !" dit encore le veuf qui avait à nouveau du soleil dans les yeux. Le chrétien, qui ne voulait pas être en reste, se proposa d'aider les deux personnes handicapées dans leurs tâches quotidiennes, tout en se rappelant que le Dieu en lequel il croyait, demandait aussi d'accueillir le pauvre ou l'étranger. Il se disait que c'était peut-être le chemin à suivre pour retrouver la foi. Le réfugié proposa aux autres de faire découvrir sa culture, ses traditions, sa religion musulmane, son mode de vie et l'histoire de son pays, dans le but d'ouvrir ses nouveaux amis sur un monde inconnu pour eux !
Au fil des semaines, des mois qui suivirent, tous ces hommes si malheureux par le passé, continuèrent à se côtoyer, à s'entraider malgré leurs conditions sociales si différentes. Le vieux sage savait désormais qu'il ne les reverrait jamais plus venir se plaindre chez lui et il en était bien content au fond ayant atteint son but. En s'effaçant, il avait mis ces nouveaux amis devant leurs responsabilités en leur faisant découvrir que leurs petits talents ou atouts respectifs pouvaient être mis au service de l'autre pour créer de l'amitié et un esprit de famille, tout en leur redonnant le goût de vivre. Oubliant leurs propres pauvretés, leurs limites, ces hommes étaient tous redevenus riches de coeur en se donnant de manière désintéressée à l'autre, la fraternité devait maintenant les réunir à jamais ! Notre monde actuel a sans doute besoin d'une telle transformation à plus grande échelle pour devenir vraiment humain, il suffit que chacun d'entre nous veuille bien y croire un peu plus ! "Si vous commenciez dès aujourd'hui !" nous dit le vieux sage, en guise de dernier conseil !!...
Guy GILLET - tiré de mon blog : http://echangessolidaritefraternite.centerblog.net/
A travers ce texte que j'ai écrit, il y a sans doute bien des thèmes sur la vie à aborder, tout en faisant vivre l'espérance, je vous le donne à votre réflexion !
Tout le monde s'étant bien installé, le vieux sage se leva en leur disant qu'il ne pouvait hélas plus rien pour eux et il quitta la pièce. Cependant, avant qu'il ne ferme la porte derrière lui, il leur précisa simplement qu'à eux tous ils pouvaient sans doute résoudre les problèmes de chacun et qu'il existait bien une solution commune, mais qui dépendait pour la mettre en place, que de leur seule volonté, afin de ne pas repartir encore une fois dans la désespérance et la solitude. Désemparés devant l'attitude du sage, ils se regardèrent un peu étonnés, en se demandant ce qui leur arrivait. Incroyable, ce vieux sage les laissait tomber comme résigné et, croyaient-ils, apparemment indifférent à leurs problèmes.
Après un moment de stupeur, l'aveugle se mit à parler le premier en confiant son désespoir de ne pas voir, d'être en quelque sorte coupé du monde puisqu'il n'osait pas sortir de chez lui avec sa canne blanche de peur de subir l'agression d'un monde qu'il jugeait hostile, dangereux. Le jeune malentendant en fauteuil roulant, seul lui-aussi, pouvait difficilement circuler et ne pouvait capter aucune conversation, aucun bruit, de ce fait il restait cloîtré chez lui à se morfondre. Le SDF errait seul en subissant le froid de l'hiver, car la rue était sa maison, son terrain de jeu. Du monde, il en voyait passer, disait-il, mais jamais personne ne s'arrêtait près de lui pour s'intéresser à son sort, il ne trouvait plus de sens à sa vie et avait même penser à en finir !
Quant au veuf, riche et grand propriétaire, il tournait en rond, disait-il, dans sa gigantesque demeure car il n'avait plus de famille, plus d'amis. Un peu avare, il ne recevait personne et se plaignait que son manoir coûtait cher en entretien et que cela pesait sur sa fortune. Le réfugié, qui avait fui son pays à cause de la guerre et demandait l'asile, était rejeté par tout le monde parce qu'il était différent et surtout personne ne voulait l'accueillir par peur ou par haine aussi. Quant au chrétien à la foi vacillante, il avait beaucoup prié dans sa vie, il était honnête et avait toujours été très pratiquant, mais quelque chose s'était cassé en lui qu'il pouvait difficilement expliquer.
Puis, après un long temps d'échanges entre eux, l'homme sourd sur le fauteuil roulant se mit à sourire en s'adressant à l'aveugle : "Si tu me donnais ton adresse, je pourrais venir te visiter et nous sortirions ensemble au dehors, je serais tes yeux et tu serais mes oreilles !" Le riche veuf s'adressa au SDF en lui disant qu'il était bien seul dans son grand manoir et qu'il se proposait de le loger pour l'aider à sortir de la rue. "Mais au fait, je pourrais aussi t'accueillir, toi l'étranger qui est rejeté par tous !" dit encore le veuf qui avait à nouveau du soleil dans les yeux. Le chrétien, qui ne voulait pas être en reste, se proposa d'aider les deux personnes handicapées dans leurs tâches quotidiennes, tout en se rappelant que le Dieu en lequel il croyait, demandait aussi d'accueillir le pauvre ou l'étranger. Il se disait que c'était peut-être le chemin à suivre pour retrouver la foi. Le réfugié proposa aux autres de faire découvrir sa culture, ses traditions, sa religion musulmane, son mode de vie et l'histoire de son pays, dans le but d'ouvrir ses nouveaux amis sur un monde inconnu pour eux !
Au fil des semaines, des mois qui suivirent, tous ces hommes si malheureux par le passé, continuèrent à se côtoyer, à s'entraider malgré leurs conditions sociales si différentes. Le vieux sage savait désormais qu'il ne les reverrait jamais plus venir se plaindre chez lui et il en était bien content au fond ayant atteint son but. En s'effaçant, il avait mis ces nouveaux amis devant leurs responsabilités en leur faisant découvrir que leurs petits talents ou atouts respectifs pouvaient être mis au service de l'autre pour créer de l'amitié et un esprit de famille, tout en leur redonnant le goût de vivre. Oubliant leurs propres pauvretés, leurs limites, ces hommes étaient tous redevenus riches de coeur en se donnant de manière désintéressée à l'autre, la fraternité devait maintenant les réunir à jamais ! Notre monde actuel a sans doute besoin d'une telle transformation à plus grande échelle pour devenir vraiment humain, il suffit que chacun d'entre nous veuille bien y croire un peu plus ! "Si vous commenciez dès aujourd'hui !" nous dit le vieux sage, en guise de dernier conseil !!...
Guy GILLET - tiré de mon blog : http://echangessolidaritefraternite.centerblog.net/
A travers ce texte que j'ai écrit, il y a sans doute bien des thèmes sur la vie à aborder, tout en faisant vivre l'espérance, je vous le donne à votre réflexion !
gillet guy- Messages : 68
Date d'inscription : 09/11/2017
Age : 65
Re: Une histoire d'amitié grâce à des rencontres improblables !
Beau texte, Guy. Le seul bémol, pour moi, c'est que je crois qu'aucun acte n'est désintéressé, les exemples que tu donnes en sont la preuve, le riche va recevoir pour se sentir moins seul, le catho va aider pour retrouver la foi,etc.
Re: Une histoire d'amitié grâce à des rencontres improblables !
Tu as raison Geveil, bien-sûr que ce n'est pas désintéressé, mais dans cette histoire, chacun a besoin justement de l'autre pour s'en sortir et le fait aussi d'aider l'autre donne un sens à la vie, redonne aussi le goût de vivre. Malgré, ses limites, ses pauvretés, on peut être utile et combattre sans doute ce qui est la plus grande des pauvretés, la solitude, que l'on soit riche ou pauvre. Il y a bien d'autres enseignements à tirer de ce texte, je pense, l'humilité du vieux sage aussi, qui connaît ses propres limites et qui a compris que seuls ces pauvres bougres pouvaient tenir la solution à leurs problèmes. Ce texte est prétexte à bien des débats de société sur les réfugiés, la pauvreté, le handicap, la haine, le rejet, etc..., chacun, je crois, peut y trouver de quoi méditer sur notre société pour amener plus de fraternité, c'est l'espérance que je laisse entrevoir au final !
gillet guy- Messages : 68
Date d'inscription : 09/11/2017
Age : 65
Re: Une histoire d'amitié grâce à des rencontres improblables !
Tu es généreux, Guy, mais la vie est beaucoup plus cruelle; l'homme reste au fond de lui égoïste et envieux et privilégiera toujours son confort, la plupart du temps au détriment des autres. Le lion est paisible, mais il n'acceptera pas d'avoir faim. Il faut toujours se méfier de son coup de patte! Même qu'il exigera de ses femelles qu'elles lui fournissent de quoi croquer. Homme, lion, fô bouffer! La bouffe avant la philosophie...
gaston21- Messages : 2436
Date d'inscription : 17/12/2016
Age : 91
Re: Une histoire d'amitié grâce à des rencontres improblables !
Moi j'ai aimé la phrase de Geveil!
Ce texte est prétexte à bien des débats de société sur les réfugiés, la pauvreté, le handicap, la haine, le rejet, etc..., chacun, je crois, peut y trouver de quoi méditer sur notre société pour amener plus de fraternité, c'est l'espérance que je laisse entrevoir au final !
Oui mais il pose l'éternel question: que Faire!
Méditer c'est bien, constater c'est bien, espérer c'est bien!
Résoudre (tenter en tout cas), c'est mieux!
Ce texte est prétexte à bien des débats de société sur les réfugiés, la pauvreté, le handicap, la haine, le rejet, etc..., chacun, je crois, peut y trouver de quoi méditer sur notre société pour amener plus de fraternité, c'est l'espérance que je laisse entrevoir au final !
Oui mais il pose l'éternel question: que Faire!
Méditer c'est bien, constater c'est bien, espérer c'est bien!
Résoudre (tenter en tout cas), c'est mieux!
Dede 95- Messages : 2057
Date d'inscription : 01/02/2016
Age : 81
Localisation : Corse et Région Parisienne
Re: Une histoire d'amitié grâce à des rencontres improblables !
Les amis, merci pour vos réponses, mais c'est toujours le même problème au fond, je ne vous en veux pas, mais vous me semblez fatalistes, résignés comme pas mal de citoyens............ on ne pourrait rien changer ou de toute façon c'est foutu, ou alors, qu'est-ce qui faudrait faire, etc, etc.... Eh, nous sommes tous vivants en capacité d'aimer, de donner autour de soi, de changer les choses dans sa rue, son quartier ou un peu plus loin, mon édito, au fond, au sens large du terme, ne dit pas autre chose !
Bien-entendu que l'homme est imparfait et moi le premier, hélas, bien sûr que notre monde ne tourne pas toujours très rond..... et patati et patata, mais rien n'est impossible à qui veut y croire un peu et, à 60 ans, malgré ce que j'ai vu dans ma vie, j'y crois encore, pas pour moi, mais pour mes enfants et petits enfants, c'est cela que je dis au fond ! Nous avons aussi la société que nous méritons, si on ne se bouge pas, on n'obtient rien, c'est aussi CON que cela et tant pis s'il y a des montagnes à soulever, agir tant qu'on est vivants, savoir se "mettre des coups de pied au cul" (passez-moi l'expression !) pour faire revivre l'espérance !
J'ai tellement vu de personnes à mes côtés se donner pour les autres, on ne réussissait pas tout, mais lorsque quelqu'un retrouvait le sourire, c'était formidable, je peux vous l'assurer ! Dans mon édito, les gens sont un peu au fond du trou, mais ensemble, en s'unissant et en faisant vivre une certaine amitié, ils repartent de plus belle, c'est cela le message ! Tant qu'on ne croira pas assez à cela, on pourra toujours se plaindre, dénoncer l'homme comme un être imparfait, nuisible, comme je l'ai lu, mais après rien ne bougera ! Notre monde crève du manque d'envie de donner et le remplace hélas par le besoin d'avoir toujours plus, pour quoi au final, on revendique des droits et on oublie nos devoirs élémentaires, qui sont à la base de la fraternité, de la solidarité, de l'AMOUR ! Ce ne sont pas que des mots car j'ai pu constater que beaucoup de gens se battaient pour tout cela, qu'est-ce qui peut y avoir de plus beau ! Je serai peut-être dur en disant cela, mais je crois que l'on peut critiquer les autres, montrer les travers d'une société, mais si on ne bouge pas pour changer les choses, on est aussi responsable de la situation et, moi, en permanence, je me sens responsable, car je devrais en faire encore plus, mais c'est cela qui fait vivre aussi, enfin je le crois !
Bien-entendu que l'homme est imparfait et moi le premier, hélas, bien sûr que notre monde ne tourne pas toujours très rond..... et patati et patata, mais rien n'est impossible à qui veut y croire un peu et, à 60 ans, malgré ce que j'ai vu dans ma vie, j'y crois encore, pas pour moi, mais pour mes enfants et petits enfants, c'est cela que je dis au fond ! Nous avons aussi la société que nous méritons, si on ne se bouge pas, on n'obtient rien, c'est aussi CON que cela et tant pis s'il y a des montagnes à soulever, agir tant qu'on est vivants, savoir se "mettre des coups de pied au cul" (passez-moi l'expression !) pour faire revivre l'espérance !
J'ai tellement vu de personnes à mes côtés se donner pour les autres, on ne réussissait pas tout, mais lorsque quelqu'un retrouvait le sourire, c'était formidable, je peux vous l'assurer ! Dans mon édito, les gens sont un peu au fond du trou, mais ensemble, en s'unissant et en faisant vivre une certaine amitié, ils repartent de plus belle, c'est cela le message ! Tant qu'on ne croira pas assez à cela, on pourra toujours se plaindre, dénoncer l'homme comme un être imparfait, nuisible, comme je l'ai lu, mais après rien ne bougera ! Notre monde crève du manque d'envie de donner et le remplace hélas par le besoin d'avoir toujours plus, pour quoi au final, on revendique des droits et on oublie nos devoirs élémentaires, qui sont à la base de la fraternité, de la solidarité, de l'AMOUR ! Ce ne sont pas que des mots car j'ai pu constater que beaucoup de gens se battaient pour tout cela, qu'est-ce qui peut y avoir de plus beau ! Je serai peut-être dur en disant cela, mais je crois que l'on peut critiquer les autres, montrer les travers d'une société, mais si on ne bouge pas pour changer les choses, on est aussi responsable de la situation et, moi, en permanence, je me sens responsable, car je devrais en faire encore plus, mais c'est cela qui fait vivre aussi, enfin je le crois !
gillet guy- Messages : 68
Date d'inscription : 09/11/2017
Age : 65
Re: Une histoire d'amitié grâce à des rencontres improblables !
Pas pour moi, au contraire, on me reproche souvent d'en faire un peu trop pour mes semblables, c'est du reste une des raisons de mon divorce précoce!Les amis, merci pour vos réponses, mais c'est toujours le même problème au fond, je ne vous en veux pas, mais vous me semblez fatalistes, résignés comme pas mal de citoyens............
Un peu trop de passions pour mes convictions ? Peut être, peut être pas!
Pour mes amis ci dessus ils n'ont pas tort la vie n'est pas facile, même si , comme Gaston, il exprime le sentiment de beaucoup, et en le généralisant à tort!
Dede 95- Messages : 2057
Date d'inscription : 01/02/2016
Age : 81
Localisation : Corse et Région Parisienne
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