Le Paradis sans Dieu.
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Le Paradis sans Dieu.
Le Dieu des religions monothéistes est-il nécessaire pour assurer aux hommes la vie éternelle dans un eden?
Je pense que non. Il n'est pas besoin de ce dieu.
La vie éternelle est possible, certaine, sans ce dieu, ni d'aucun des dieux connus.
Qui sommes-nous, sinon la première bactérie ? Que sommes-nous devenus ? Rires, amour et bonheur ! Que seront les générations futures du vivants ?
Je pense que non. Il n'est pas besoin de ce dieu.
La vie éternelle est possible, certaine, sans ce dieu, ni d'aucun des dieux connus.
Qui sommes-nous, sinon la première bactérie ? Que sommes-nous devenus ? Rires, amour et bonheur ! Que seront les générations futures du vivants ?
Tatonga- Admin
- Messages : 7402
Date d'inscription : 11/11/2015
Age : 48
Re: Le Paradis sans Dieu.
aucune idée, et ça ne me tracasse pas plus que ça...
Je préfère bien occuper le moment présent avec des choses intéressante ou utiles plutôt que de gaspiller ce précieux Présent à supputer sur des hypothèses impossibles à confirmer.
Le Présent est la seule chose dont nous soyons absolument sûrs, alors: vivons le à fond !
Je préfère bien occuper le moment présent avec des choses intéressante ou utiles plutôt que de gaspiller ce précieux Présent à supputer sur des hypothèses impossibles à confirmer.
Le Présent est la seule chose dont nous soyons absolument sûrs, alors: vivons le à fond !
Invité- Invité
Re: Le Paradis sans Dieu.
je répondais à la question du titre, mais dans ton post tu abordes d'autres sujets beaucoup plus graves
- comment vivront les générations futures ?
Réponse: ça dépend en grande partie de l'état dans lequel nous leur rendrons la Terre, d'où: l'importance de faire ce qu'il faut maintenant
- "Que sommes-nous devenus ? Rires, amour et bonheur !"
Heu... tu en est sûr ? Je ne serais pas étonnée que ce soit un état très minoritaire et passager...
Réponse: nous pouvons alléger les souffrances en agissant comme il faut dans l'instant présent.
Donc tout me ramène à "BIEN vivre l'instant présent": il est tellement important qu'il devrait absorber toute notre attention et notre énergie. La réflexion devrait être orientée vers "comment le vivre au mieux, dans l'intérêt de tous et des générations futures", parce que tout cela n'est qu'UN: tout est relié.
"Faire ce qu'il faut" ce n'est pas simplement ne pas faire de tort, être neutre, c'est AGIR pour que le monde puisse évoluer vers un mieux. À chacun de chercher ce qu'il peut faire, à son niveau.
- comment vivront les générations futures ?
Réponse: ça dépend en grande partie de l'état dans lequel nous leur rendrons la Terre, d'où: l'importance de faire ce qu'il faut maintenant
- "Que sommes-nous devenus ? Rires, amour et bonheur !"
Heu... tu en est sûr ? Je ne serais pas étonnée que ce soit un état très minoritaire et passager...
Réponse: nous pouvons alléger les souffrances en agissant comme il faut dans l'instant présent.
Donc tout me ramène à "BIEN vivre l'instant présent": il est tellement important qu'il devrait absorber toute notre attention et notre énergie. La réflexion devrait être orientée vers "comment le vivre au mieux, dans l'intérêt de tous et des générations futures", parce que tout cela n'est qu'UN: tout est relié.
"Faire ce qu'il faut" ce n'est pas simplement ne pas faire de tort, être neutre, c'est AGIR pour que le monde puisse évoluer vers un mieux. À chacun de chercher ce qu'il peut faire, à son niveau.
Invité- Invité
Re: Le Paradis sans Dieu.
Pourquoi aurais-je une vie éternelle et pas mon épagneul et le poulet dont il est en train de manger un os? L'homme reste foncièrement un animal et il est illusoire de lui prévoir un paradis. Pour les reste, questionnons Madame Irma!
gaston21- Messages : 2436
Date d'inscription : 17/12/2016
Age : 91
Re: Le Paradis sans Dieu.
Aurae, je parle des générations futures du vivant, et non de nos enfants.
Je disais que nous étions la première bactérie et que nous sommes devenus des êtres qui rient, qui aiment, qui sont heureux.
Ne vois-tu pas là une évolution vers de plus en plus de bonheur ? Ne vois-tu pas cette tendance se dessiner ?
Par ailleurs, tu dis vouloir te borner à vivre le moment présent, je te comprends, mais l'interrogation métaphysique est ce qu'il y a de plus passionnant pour l'homme. Il ne se nourrit pas seulement de carottes et de navet. Oui, tout comme moi, tu peux être blasée certains moment par toute ces interrogations, mais je comprends que ce ne soit pas le cas de tout le monde, puisque moi-même ces interrogations continuent de me passionner.
Je disais que nous étions la première bactérie et que nous sommes devenus des êtres qui rient, qui aiment, qui sont heureux.
Ne vois-tu pas là une évolution vers de plus en plus de bonheur ? Ne vois-tu pas cette tendance se dessiner ?
Par ailleurs, tu dis vouloir te borner à vivre le moment présent, je te comprends, mais l'interrogation métaphysique est ce qu'il y a de plus passionnant pour l'homme. Il ne se nourrit pas seulement de carottes et de navet. Oui, tout comme moi, tu peux être blasée certains moment par toute ces interrogations, mais je comprends que ce ne soit pas le cas de tout le monde, puisque moi-même ces interrogations continuent de me passionner.
Tatonga- Admin
- Messages : 7402
Date d'inscription : 11/11/2015
Age : 48
Re: Le Paradis sans Dieu.
Mais ça, c'est l'idée des religions monothéistes, Gaston. C'est elles qui font de l'homme le chouchou unique et privilégié de Dieu, et puis ces religions comment pouvaient-elles parler aux poulets?gaston21 a écrit:Pourquoi aurais-je une vie éternelle et pas mon épagneul et le poulet dont il est en train de manger un os? L'homme reste foncièrement un animal et il est illusoire de lui prévoir un paradis. Pour les reste, questionnons Madame Irma!
Laisse tomber ce Dieu, Gaston, et observe le vivant.
La première cellule n'est-elle pas en nous ? Ne sommes-nous pas cette première cellule transformée et comment s'est-elle transformée ? N'est-elle pas devenu NOUS qui vivons l'amour, sommes heureux et rions. Ne vois-tu pas là une évolution vers de plus en plus de bonheur ? Une tendance forte.
Tatonga- Admin
- Messages : 7402
Date d'inscription : 11/11/2015
Age : 48
Re: Le Paradis sans Dieu.
Moi aussi je parle à long terme, voyons !
Oui, tout le monde a envie de plus de bonheur, c'est une condition de survie de la race, donc c'est attaché à notre incarnation terrestre, il n'est pas dit que cette sensation subsiste en-dehors de cet environnement. Parce que "plus de bonheur", ça veut dire quoi ? Si tu fais la liste, tu verras que ça se réduit à
- pas de souffrance, ce que nous partageons avec les animaux
- plus de biens matériels, sauf pour ceux qui peuvent se contenter de ce qu'ils ont déjà, ce qui nous distingue des animaux
Le reste est "dans la tête", c'est à dire dépend de notre façon de voir la vie et sa recherche est un long cheminement.
Bien sûr que je comprends que les interrogations métaphysiques puissent être passionnantes sinon je n'aurais jamais abouti ici. Ce que j'exprime est la conclusion (provisoire) de ma réflexion pendant les dizaines d'années passées. J'en ai 2,5 de plus que toi, on verra où tu en seras à mon âge
Oui, tout le monde a envie de plus de bonheur, c'est une condition de survie de la race, donc c'est attaché à notre incarnation terrestre, il n'est pas dit que cette sensation subsiste en-dehors de cet environnement. Parce que "plus de bonheur", ça veut dire quoi ? Si tu fais la liste, tu verras que ça se réduit à
- pas de souffrance, ce que nous partageons avec les animaux
- plus de biens matériels, sauf pour ceux qui peuvent se contenter de ce qu'ils ont déjà, ce qui nous distingue des animaux
Le reste est "dans la tête", c'est à dire dépend de notre façon de voir la vie et sa recherche est un long cheminement.
Bien sûr que je comprends que les interrogations métaphysiques puissent être passionnantes sinon je n'aurais jamais abouti ici. Ce que j'exprime est la conclusion (provisoire) de ma réflexion pendant les dizaines d'années passées. J'en ai 2,5 de plus que toi, on verra où tu en seras à mon âge
Invité- Invité
Re: Le Paradis sans Dieu.
Aurae
Ce n'est pas parce que toi et moi avons passé 20 ans à nous poser ce genre de questions et qu'on en est saturés, que tout le monde doit y renoncer.
Les autres aussi ont le droit d'y passer leurs 20 ans d'interrogations. Ce n'est pas une raison d'obliger les jeunes à vivre comme nous, ce n'est pas une raison d'obliger l'humanité à y renoncer.
Non nous ne parlons pas de la même chose Aurae. Tu parles des hommes et de leurs enfants.
Moi, je parle de l'avenir du vivant dans 1000 millénaires, dans 10.000 millénaires. Quand les hommes ne seront plus là, mais qu'ils seront quand même présents dans le vivant futur, comme la première bactérie est en nous. La tendance que j'observe me dit que le vivant va intégrer de plus en plus de vie, sera de plus en plus heureux... et nous humains, nous y serons, car le vivant futur sera constitué de nous transformés
Ce n'est pas parce que toi et moi avons passé 20 ans à nous poser ce genre de questions et qu'on en est saturés, que tout le monde doit y renoncer.
Les autres aussi ont le droit d'y passer leurs 20 ans d'interrogations. Ce n'est pas une raison d'obliger les jeunes à vivre comme nous, ce n'est pas une raison d'obliger l'humanité à y renoncer.
Non nous ne parlons pas de la même chose Aurae. Tu parles des hommes et de leurs enfants.
Moi, je parle de l'avenir du vivant dans 1000 millénaires, dans 10.000 millénaires. Quand les hommes ne seront plus là, mais qu'ils seront quand même présents dans le vivant futur, comme la première bactérie est en nous. La tendance que j'observe me dit que le vivant va intégrer de plus en plus de vie, sera de plus en plus heureux... et nous humains, nous y serons, car le vivant futur sera constitué de nous transformés
Tatonga- Admin
- Messages : 7402
Date d'inscription : 11/11/2015
Age : 48
Re: Le Paradis sans Dieu.
Mais Tatounet, je n'ai jamais demandé aux autres de ne plus réfléchir !
C'est quand même triste que quand j'exprime simplement ma pensée pour alimenter un sujet de discussion, d'autres se sentent agressés comme si je voulais qu'ils pensent comme moi...
Une solution: ne plus dire ce que je pense, ça vaudra mieux !
En réalité, mon opinion n'intéresse personne, chacun ne fait que rechercher confirmation de ce qu'il pense déjà.
PS. OK, en effet, je me limitais à la vie consciente sur terre, qu'elle soit sous forme humaine ou non, ce n'est en effet pas comme toi. Mais s'il n'y en a plus, alors c'est qui ou quoi qui sera "heureux" ?
C'est quand même triste que quand j'exprime simplement ma pensée pour alimenter un sujet de discussion, d'autres se sentent agressés comme si je voulais qu'ils pensent comme moi...
Une solution: ne plus dire ce que je pense, ça vaudra mieux !
En réalité, mon opinion n'intéresse personne, chacun ne fait que rechercher confirmation de ce qu'il pense déjà.
PS. OK, en effet, je me limitais à la vie consciente sur terre, qu'elle soit sous forme humaine ou non, ce n'est en effet pas comme toi. Mais s'il n'y en a plus, alors c'est qui ou quoi qui sera "heureux" ?
Invité- Invité
Re: Le Paradis sans Dieu.
Mais les espèces vivantes qui nous succèderont et dont nous constitueront en quelque sorte les cellules, comme la première bactérie est notre première brique.Aurae a écrit:
PS. OK, en effet, je me limitais à la vie consciente sur terre, qu'elle soit sous forme humaine ou non, ce n'est en effet pas comme toi. Mais s'il n'y en a plus, alors c'est qui ou quoi qui sera "heureux" ?
Depuis la première bactérie, il y a de plus en plus de vie et de bonheur dans le vivant, c'est une tendance nette.
Tatonga- Admin
- Messages : 7402
Date d'inscription : 11/11/2015
Age : 48
Re: Le Paradis sans Dieu.
oui, je suis d'accord, c'est un point de vue intéressant (je n'y ai jamais pensé), mais je dirais plutôt de possibilités de bonheur, associé à plus de possibilités de souffrances. À nous de choisir, par notre comportement et notre cheminement. Ne pas croire que ce la n'a d'effet que sur nous: le moindre progrès émane une énergie dont toute la Vie profite.
Invité- Invité
Re: Le Paradis sans Dieu.
Exact !
Les souffrances ? Mais tu raisonnes toujours avec le Dieu monothéiste en tête.
Nous souffrons, mais nous luttons contre la souffrance, nous ne vivons plus comme dans l'antiquité. Nous avons amélioré nos conditions de vie. Et c'est la nature (ou la Vie) qui lutte toujours contre la souffrance à travers nous, car nous sommes la nature, partie de la nature.
C'est la nature qui nous a conçus et elle nous a dotés de conscience et du désir d'être heureux, de lutter contre la souffrances. Nous sommes les instruments de la nature, la nature dans le combat qu'elle mène pour aller vers de plus en plus de bonheur.
Les souffrances ? Mais tu raisonnes toujours avec le Dieu monothéiste en tête.
Nous souffrons, mais nous luttons contre la souffrance, nous ne vivons plus comme dans l'antiquité. Nous avons amélioré nos conditions de vie. Et c'est la nature (ou la Vie) qui lutte toujours contre la souffrance à travers nous, car nous sommes la nature, partie de la nature.
C'est la nature qui nous a conçus et elle nous a dotés de conscience et du désir d'être heureux, de lutter contre la souffrances. Nous sommes les instruments de la nature, la nature dans le combat qu'elle mène pour aller vers de plus en plus de bonheur.
Tatonga- Admin
- Messages : 7402
Date d'inscription : 11/11/2015
Age : 48
Re: Le Paradis sans Dieu.
heu... je ne vois pas le rapport avec un dieu quelconque, ni avec plusieurs, d'ailleurs Quand je me brûle, je n'y vois ni la main de dieu ni du diable...
Je constate seulement que la souffrance fait autant partie de notre vie que le bonheur, et que la capacité de ressentir l'un et l'autre augmente sans doute avec notre sensibilité. C'est tout.
Peut-être développer notre capacité de diminuer la souffrance au profit du bonheur doit elle se développer à mesure de notre évolution, mais j'en doute parce que je persiste à penser que cette idée du bonheur telle que nous l'avons est liée à notre condition humaine et disparaîtra avec elle: elle ressemble trop à une absence de souffrance, ou à son opposé, ce qui en fait les deux faces de la même pièces (dualité). Dans un autre état, nous aurions d'autres sensations, peut-être beaucoup plus puissantes (suppression de la dualité pour l'Unité)...
Je constate seulement que la souffrance fait autant partie de notre vie que le bonheur, et que la capacité de ressentir l'un et l'autre augmente sans doute avec notre sensibilité. C'est tout.
Peut-être développer notre capacité de diminuer la souffrance au profit du bonheur doit elle se développer à mesure de notre évolution, mais j'en doute parce que je persiste à penser que cette idée du bonheur telle que nous l'avons est liée à notre condition humaine et disparaîtra avec elle: elle ressemble trop à une absence de souffrance, ou à son opposé, ce qui en fait les deux faces de la même pièces (dualité). Dans un autre état, nous aurions d'autres sensations, peut-être beaucoup plus puissantes (suppression de la dualité pour l'Unité)...
Invité- Invité
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