Mourir pour des idées, ou même tuer.
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Mourir pour des idées, ou même tuer.
J'ouvre cette discussion suite à la remarque d'Invité:
N'est-ce pas de toutes les époques? Mais peu importe, mourir et éventuellement tuer pour ses idées, je trouve ça très courageux, mais très stupide. Sur d'autres fora, nous sommes plusieurs à être parvenus à la pensée qu'il n'y a pas de Vérité, avec un grand V, mais cette pensée est-elle une vérité?
Un peu le contraire de ce qu'on fait à notre époque ou chacun réagit avec passion et campe sur ses principes.
N'est-ce pas de toutes les époques? Mais peu importe, mourir et éventuellement tuer pour ses idées, je trouve ça très courageux, mais très stupide. Sur d'autres fora, nous sommes plusieurs à être parvenus à la pensée qu'il n'y a pas de Vérité, avec un grand V, mais cette pensée est-elle une vérité?
Re: Mourir pour des idées, ou même tuer.
Tuer pour ses idées n'est pas courageux mais criminel, car vu sous cet angle là les plus sombres meurtriers de l'histoire vont se retrouver gratifiés de médailles.
Et oui de toutes les époques, de tout temps l'être humain a baigné dans une certaine "inquisition" morale, scientifique, religieuse …
Eh bien si on part du principe que cette grande Vérité n'est pas unique et est composée de plusieurs petites vérités. Cette grande Vérité elle-même pourrait ainsi être le fragment d'une autre plus grande qu'elle … et ça ne fera pas moins d'elle une vérité …
Le seul souci est sans poser un cadre on pourrait au gré de chacun se retrouver avec deux vérités … contradictoires.
Et oui de toutes les époques, de tout temps l'être humain a baigné dans une certaine "inquisition" morale, scientifique, religieuse …
à la pensée qu'il n'y a pas de Vérité, avec un grand V, mais cette pensée est-elle une vérité?
Eh bien si on part du principe que cette grande Vérité n'est pas unique et est composée de plusieurs petites vérités. Cette grande Vérité elle-même pourrait ainsi être le fragment d'une autre plus grande qu'elle … et ça ne fera pas moins d'elle une vérité …
Le seul souci est sans poser un cadre on pourrait au gré de chacun se retrouver avec deux vérités … contradictoires.
Invité- Invité
Re: Mourir pour des idées, ou même tuer.
Bonjour Ambre, ta photo est superbe.
En toute logique, on peut être criminel et courageux, et dans ce cas le courage ne conduit pas à une médaille.
Une grande vérité composée de plusieurs petites n'est pas LA Vérité.
Pourrais-tu mourir ou même tuer pour ce que tu croirais être LA Vérité?
En toute logique, on peut être criminel et courageux, et dans ce cas le courage ne conduit pas à une médaille.
Une grande vérité composée de plusieurs petites n'est pas LA Vérité.
Pourrais-tu mourir ou même tuer pour ce que tu croirais être LA Vérité?
Re: Mourir pour des idées, ou même tuer.
geveil a écrit:Bonjour Ambre, ta photo est superbe.
En toute logique, on peut être criminel et courageux, et dans ce cas le courage ne conduit pas à une médaille.
Bonjour geveil,
merci pour ton compliment .
Applique-t-on la logique à la noblesse des caractères ? Le courage se voulant en être une ?
Une grande vérité composée de plusieurs petites n'est pas LA Vérité.
ben non, car LA Vérité peut elle même devenir une partie d'une autre Vérité. C'est le mal même de l'humanité, chacun prêchant pour sa paroisse. Mais si on voulait être constructifs et définir une vérité commune immuable, laquelle choisirons nous ?
Pourrais-tu mourir ou même tuer pour ce que tu croirais être LA Vérité?
Tuer, même pas en rêve.
Mourir, je n'ai pas une âme de prophète ou de Galilée. Et au jour d'aujourd'hui quelle serait LA Vérité pour laquelle une personne voudrait se sacrifier ? Un Vérité et non pas un endoctrinement sectaire aveugle.
Invité- Invité
Re: Mourir pour des idées, ou même tuer.
Ben c'est le cas, vois les généraux, les officiers.Ambre a écrit:Tuer pour ses idées n'est pas courageux mais criminel, car vu sous cet angle là les plus sombres meurtriers de l'histoire vont se retrouver gratifiés de médailles.
Et alors, n'est-il pas temps de changer?Et oui à toutes les époques, de tout temps l'être humain a baigné dans une certaine "inquisition" morale, scientifique, religieuse …
https://genius.com/Jacques-brel-lair-de-la-betise-lyrics
Re: Mourir pour des idées, ou même tuer.
Tuer ou mourir pour son idée.
Il faut d'abord distinguer idée et intérêt, parfois ça se confond, car souvent l'idée et l'intérêt ( matériel, généralement, mais pas seulement) qu'elle représente pour moi se regoignent, l'idée étant là pour justifier ou légitimer mon intérêt.
A ce niveau, il faut bien que je défende mon intérêt, c'est comme ça, sinon qui le ferait à ma place ? Et si c'est une question de survie, il faut bien aller jusqu'à tuer ou mourir, puisque ce qui est en jeu c'est la survie ou quelque chose d'aussi important.
Il n'y a pas d'autres alternatives, il faut soit tuer, soit mourir, si, mais c'est déjà dit, aucun compromis n'est possible.
(je fais abstraction des institutions étatiques mises en place par l'homme pour régler les conflits, sinon la question ne se poserait plus. Mais à l'échelle internationale, c'est la loi du plus fort, malgré l'ONU. Une ONU diabolique soit dit en passant qui tantôt autorise une intervention armée précipitée, en quelques semaines, sciemment pour éviter qu'une solution diplomatique soit trouvée au conflit, comme ce fut le cas pour la Libye de Kadhafi, tantôt se tait malgré le déni des solutions dégagées par les voies diplomatiques. Mais l'ONU n'existe pas, ce sont les représentants de quelques Etat qui décident, et comme les hommes s'achètent et se vendent... Fermons la parenthèse).
Passons maintenant à la défense de l'idée au sens de (simple) conviction. A ce niveau on distingue ceux qui tuent le porteur de l'idée différente ou opposée, ceux qui ne tuent pas le porteur de l'idée, mais luttent par le discours pour tuer l'autre idée, il y a enfin ceux qu'on appelle les tolérants, qui font une place à l'autre idée... dans la mesure où elle est tolérable. Mais il s'agit ici de se confesser, alors je me confesse : personnellement, je me contrefiche de ce que pensent et font les autres, ils peuvent aller à poil dans les lieux publics, adorer les pierres ou le diable, ça m'est complètement égal, pourvu qu'ils ne me marchent pas sur les pieds.
Il faut d'abord distinguer idée et intérêt, parfois ça se confond, car souvent l'idée et l'intérêt ( matériel, généralement, mais pas seulement) qu'elle représente pour moi se regoignent, l'idée étant là pour justifier ou légitimer mon intérêt.
A ce niveau, il faut bien que je défende mon intérêt, c'est comme ça, sinon qui le ferait à ma place ? Et si c'est une question de survie, il faut bien aller jusqu'à tuer ou mourir, puisque ce qui est en jeu c'est la survie ou quelque chose d'aussi important.
Il n'y a pas d'autres alternatives, il faut soit tuer, soit mourir, si, mais c'est déjà dit, aucun compromis n'est possible.
(je fais abstraction des institutions étatiques mises en place par l'homme pour régler les conflits, sinon la question ne se poserait plus. Mais à l'échelle internationale, c'est la loi du plus fort, malgré l'ONU. Une ONU diabolique soit dit en passant qui tantôt autorise une intervention armée précipitée, en quelques semaines, sciemment pour éviter qu'une solution diplomatique soit trouvée au conflit, comme ce fut le cas pour la Libye de Kadhafi, tantôt se tait malgré le déni des solutions dégagées par les voies diplomatiques. Mais l'ONU n'existe pas, ce sont les représentants de quelques Etat qui décident, et comme les hommes s'achètent et se vendent... Fermons la parenthèse).
Passons maintenant à la défense de l'idée au sens de (simple) conviction. A ce niveau on distingue ceux qui tuent le porteur de l'idée différente ou opposée, ceux qui ne tuent pas le porteur de l'idée, mais luttent par le discours pour tuer l'autre idée, il y a enfin ceux qu'on appelle les tolérants, qui font une place à l'autre idée... dans la mesure où elle est tolérable. Mais il s'agit ici de se confesser, alors je me confesse : personnellement, je me contrefiche de ce que pensent et font les autres, ils peuvent aller à poil dans les lieux publics, adorer les pierres ou le diable, ça m'est complètement égal, pourvu qu'ils ne me marchent pas sur les pieds.
Tatonga- Admin
- Messages : 7389
Date d'inscription : 11/11/2015
Age : 48
Re: Mourir pour des idées, ou même tuer.
Mourir pour des idées, ou même tuer...Il y a des gens qui sont faits pour ça; ça s'appelle des soldats! Même que, chez leurs chefs, la vie humaine a parfois peu de valeur! Souvenez-vous de Mangin le boucher, de Joffre qui rentrait chaque soir "pour la soupe"; les hommes entraient dans les statistiques, sans plus! C'est quand même mieux maintenant; on a nos guerrières, nos amazones! Et nos héros pour remplir la cour des Invalides... Et comme on les "coursait", les lapins, dans les Aurès!
gaston21- Messages : 2436
Date d'inscription : 17/12/2016
Age : 91
Re: Mourir pour des idées, ou même tuer.
Non, Gaston, les soldats, quel que soit leur grade, exécutent des ordres, d'ailleurs un soldat n'a pas d'idées.
En fait, il est difficle de dire qui peut tuer pour une idée.
Le seul exemple que j'ai trouvé, après moult recherches et réflexions, c'est celui des dirigeants occidentaux.
Eux seuls envoient la troupe tuer les voisins pour leur apporter la liberté et la démocratie. Ils y mettent tant d'application que desdits voisins il ne subsiste généralement aucune trace, effet sans doute d'un trop fort dosage. Oui, de tous ceux à qui il a été inoculé une dose de liberté démocratique occidentale, aucun n'a à ce jour survécu. Tous sont morts de mort subite.
En fait, il est difficle de dire qui peut tuer pour une idée.
Le seul exemple que j'ai trouvé, après moult recherches et réflexions, c'est celui des dirigeants occidentaux.
Eux seuls envoient la troupe tuer les voisins pour leur apporter la liberté et la démocratie. Ils y mettent tant d'application que desdits voisins il ne subsiste généralement aucune trace, effet sans doute d'un trop fort dosage. Oui, de tous ceux à qui il a été inoculé une dose de liberté démocratique occidentale, aucun n'a à ce jour survécu. Tous sont morts de mort subite.
Tatonga- Admin
- Messages : 7389
Date d'inscription : 11/11/2015
Age : 48
Re: Mourir pour des idées, ou même tuer.
La guerre est partout! Tatonga, l'un de tes ancêtres, jadis pirate, a peut-être mangé le foie d'un occidental qui venait t'enseigner l'Evangile ou le calcul! L'homme a la guerre dans le sang; ça s'appelle l'instinct de conservation! A peine parle-t-on de paix qu'ailleurs on entend le bruit des armes! Ca va pourtant mieux; avec Avangard, la Russie possède maintenant l'arme absolue, celle de l'Apocalypse! Lis ou relis Nostradamus; elle approche! Tiens, je tombe sur le quatrain II-7:
"...Mourront de faim les arbres esbrotez..." : les hommes mourront de faim à cause des défoliants...Tu vois, tout arrive ; et qui sont les responsables des malheurs à venir?
"...Mourront de faim les arbres esbrotez..." : les hommes mourront de faim à cause des défoliants...Tu vois, tout arrive ; et qui sont les responsables des malheurs à venir?
gaston21- Messages : 2436
Date d'inscription : 17/12/2016
Age : 91
Re: Mourir pour des idées, ou même tuer.
La cause est bien simple.
Nous sommes trop nombreux, et l’homme n’est pas fait pour vivre en société ; il y a erreur sociologique, nous ne sommes pas des fourmis ou des abeilles. Nous ne supportons pas la vue de l’autre, ni son regard, ni sa voix ni ses idées. La promiscuité, ce n’est pas très bon pour l’homme.
Je connais des contrées où les espaces sont immenses, chacun s’éloigne d’instinct d’au moins 3km des autres pour construire sa demeure. Il y creuse son puits et s’y installe avec sa femme, son fusil, ses chiens de garde et son cheval. Chacun vit chez soi et tout le monde sait d’instinct qu’il est dangereux de s’aventurer trop près de l’autre. D’instinct ou par entente tacite.
Nous sommes trop nombreux, et l’homme n’est pas fait pour vivre en société ; il y a erreur sociologique, nous ne sommes pas des fourmis ou des abeilles. Nous ne supportons pas la vue de l’autre, ni son regard, ni sa voix ni ses idées. La promiscuité, ce n’est pas très bon pour l’homme.
Je connais des contrées où les espaces sont immenses, chacun s’éloigne d’instinct d’au moins 3km des autres pour construire sa demeure. Il y creuse son puits et s’y installe avec sa femme, son fusil, ses chiens de garde et son cheval. Chacun vit chez soi et tout le monde sait d’instinct qu’il est dangereux de s’aventurer trop près de l’autre. D’instinct ou par entente tacite.
Tatonga- Admin
- Messages : 7389
Date d'inscription : 11/11/2015
Age : 48
Re: Mourir pour des idées, ou même tuer.
L'homme est quand même un animal social! C'est parce qu'il est un animal social qu'il a survécu. Les hommes sont-ils maintenant trop nombreux pour survivre dans des conditions acceptables? Personnellement je le pense. Comment se fera l'ajustement? L'équilibre est près de se rompre; l'immigration en sera un facteur car il est illusoire de croire qu'on pourra la contrôler.
gaston21- Messages : 2436
Date d'inscription : 17/12/2016
Age : 91
Re: Mourir pour des idées, ou même tuer.
Coucou par ici.
En fait je crois que personne ne veut mourir ou tuer pour l'idée de celui qui adore les pierres ou le diable. Par contre la société a besoin d'un ciment qu'elle va parfois chercher jusque chez le diable. Pourquoi on brûlait de malheureuses femmes sur les bûchers? Aucune sorcière n'a jamais prétendu adorer le diable. Elles menaçait la société soit en vivant seule et il fallait bien rappeler aux autres le prix qu'il en coûte de vouloir vivre libre. Soit en devenant puissantes, en soignant, ou en devenant riche. Et idem il fallait bien les remettre à leur place pour garder une société tranquille.
Pourquoi les Pakistanais voulaient pendre Assia bibi? Parce qu'une femme issue d'une communauté minoritaire voulait tenir tête aux femmes plus hautes qu'elle.
Pourquoi les birman ont éventré les bébés de Rohighas? Parce qu'ils devenaient trop nombreux et trop proches d'eux.
Ce n'est jamais pour Dieu ou contre le diable que l'homme se bat. C'est juste quand il a peur que son monde soit menacé.
En fait je crois que personne ne veut mourir ou tuer pour l'idée de celui qui adore les pierres ou le diable. Par contre la société a besoin d'un ciment qu'elle va parfois chercher jusque chez le diable. Pourquoi on brûlait de malheureuses femmes sur les bûchers? Aucune sorcière n'a jamais prétendu adorer le diable. Elles menaçait la société soit en vivant seule et il fallait bien rappeler aux autres le prix qu'il en coûte de vouloir vivre libre. Soit en devenant puissantes, en soignant, ou en devenant riche. Et idem il fallait bien les remettre à leur place pour garder une société tranquille.
Pourquoi les Pakistanais voulaient pendre Assia bibi? Parce qu'une femme issue d'une communauté minoritaire voulait tenir tête aux femmes plus hautes qu'elle.
Pourquoi les birman ont éventré les bébés de Rohighas? Parce qu'ils devenaient trop nombreux et trop proches d'eux.
Ce n'est jamais pour Dieu ou contre le diable que l'homme se bat. C'est juste quand il a peur que son monde soit menacé.
Invité- Invité
Re: Mourir pour des idées, ou même tuer.
Encore un attentat, après tant d'autres, commis ce mercredi en Allemagne par un extrémiste de droite, visant des étrangers.
Des fisillades, 9 morts.
Ils seraient des dizaines ou centaines de milliers d'extrémistes rien qu'en Allemagne, prêts à entrer en action.
(voir les liens sur Google).
Ils se déclarent, se filment aux moments des faits, expliquent leurs crimes en laissant des écrits, se donnent parfois ou souvent la mort une fois leur forfait accompli.
L'auteur de l'attentat de mercredi déclare dans un manifeste de 24 pages :
" Avoir de la haine pour les étrangers et les non-blancs"
" Il faut exterminer plusieurs pays de l'Afrique du Nord, du Proche-Orient et de l'Asie Centrale."
" La science prouve que certaines races sont supérieures".
A-t-on déjà expliqué ce qui se passe dans la tête d'un extrémiste, comment en arrive-t-il à tuer et à se sacrifier pour une doctrine, une idéologie, mourir pour une idée, car au fond c'est bien de cela qu'il s'agit ?
Peut-on expliquer comment ça fonctionne dans la tête d'un extrémiste ?
Des fisillades, 9 morts.
Ils seraient des dizaines ou centaines de milliers d'extrémistes rien qu'en Allemagne, prêts à entrer en action.
(voir les liens sur Google).
Ils se déclarent, se filment aux moments des faits, expliquent leurs crimes en laissant des écrits, se donnent parfois ou souvent la mort une fois leur forfait accompli.
L'auteur de l'attentat de mercredi déclare dans un manifeste de 24 pages :
" Avoir de la haine pour les étrangers et les non-blancs"
" Il faut exterminer plusieurs pays de l'Afrique du Nord, du Proche-Orient et de l'Asie Centrale."
" La science prouve que certaines races sont supérieures".
A-t-on déjà expliqué ce qui se passe dans la tête d'un extrémiste, comment en arrive-t-il à tuer et à se sacrifier pour une doctrine, une idéologie, mourir pour une idée, car au fond c'est bien de cela qu'il s'agit ?
Peut-on expliquer comment ça fonctionne dans la tête d'un extrémiste ?
Tatonga- Admin
- Messages : 7389
Date d'inscription : 11/11/2015
Age : 48
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