Dans 50 ans.

[Tatonga]

Avec tous les progrès que nous enregistrons, les découvertes et les inventions qui se font de plus en plus vite, comment pensez-vous que nous vivrons au quotidien dans 50 ans. Comment nous déplacerons-nous, comment communiquera-t-on, comment travaillerons-nous, comment se nourrira-t-on…………………………. aura-t-on trouvé la cachette de Dieu ?

[Invité]

Pense à poser la question au premier conducteur de DeLorean que tu croiseras 

[Tatonga]

Pense à poser la question au premier conducteur de DeLorean que tu croiseras 

Pas besoin de lui.
Des tendances très fortes se dessinent ces derniers temps. Il suffit d'observer ce  qui s'invente et vers quoi s'oriente la recherche.
Nous utiliserons de moins en moins nos pieds, nos mains et nos doigts,  pour nous déplacer, pour travailler ou pour communiquer. Bientôt, nous n'auront même plus besoin de la parole pour " parler".
Les découvertes technologiques tendent de plus en plus à nous faire agir comme des esprits, plutôt que comme des corps, ce qui nous éloignera de plus en plus de l'animal.
Je crois que dans 50 ans, nous ne travaillerons plus "physiquement", car il faut être une "bête brute" pour se servir de ses bras comme d'un levier dans notre rapport aux machines et à la nature. Nous aurons des robots pour travailler et des robots pour faire travailler les robots et faire la guerre.
Je crois que nous ne mangerons plus comme aujourd'hui. Car se mettre à table pour passer des heures à mastiquer des végétaux, ça fait beaucoup boeuf devant sa mangeoire.
Les femmes ne voudront plus enfanter et allaiter, car ça aussi, ça fait vache. Elles renonceront à tout ça pour garder un corps splendide. Evidemment, à très long terme, elle n'auront plus de seins du tout.

[Invité]

pourtant, il y a une tendance inverse qui se manifeste très nettement: la mode du "slow food, le retour du plaisir de cuisiner, de cultiver ses légumes, le plaisir d'éduquer ses enfants étendu aussi aux pères, ...

C'est un balancier: nous sommes dans un excès, et il revient vers l'autre extrême. Il y aura toujours des marginaux pour aller à fond, mais je pense que la tendance générale va vers une stabilisation du balancier: je le constate déjà sur ma petite durée de vie

[Invité]

pourtant, il y a une tendance inverse qui se manifeste très nettement: la mode du "slow food, le retour du plaisir de cuisiner, de cultiver ses légumes, le plaisir d'éduquer ses enfants étendu aussi aux pères, ...

C'est un balancier: nous sommes dans un excès, et il revient vers l'autre extrême.  Il y aura toujours des marginaux pour aller à fond, mais je pense que la tendance générale va vers une stabilisation du balancier: je le constate déjà sur ma petite durée de vie

tout à fait , et dans le sport aussi , beaucoup s'y remette
dans 50 ans j'aurai 123 ans ! ça peut le faire encore et surtout en bon état de marche physique et mentale , sinon pas la peine

[gaston21]

Faites un pas 50 ans en arrière...Je mangeais déjà de la salade, je buvais du vin, je regardais les filles, j'avais ma voiture, je travaillais dur... Et maintenant? Je regarde toujours les filles, mais elles ne me regardent plus...Et je ne travaille plus! L'érosion inévitable avant le saut dans le trou! Du nouveau, oui; Les télécom, Internet, des appareils plus performants, l'automatisation...Mais je ne crois pas que la vie sera si différente. Je me souviens fort bien de ce qu'on nous racontait quand j'étais jeune au sujet des progrès à venir, notamment en architecture. Qu'y-a-t-il eu de changé?
A moins que, comme le craignait Einstein, notre folie destructrice ne fasse que derrière nous, nous ne laissions que des pierres et des racines...

[Invité]

Oui, internet et les télécom, c'est le grand changement. Et ça bouleverse l'homme en profondeur, ça rapproche la planète. Et cette promiscuité aura des conséquences.
A part ça, l'humain reste le même, on a toujours même nombre d'orteil. Et la vieilesse existe toujours, la naissance aussi.

Je crois comme Aurae qu'il y a un mouvement de retour aux sources. Mais tout le monde n'est pas au même niveau ni au même rythme de marche. Les habitant des bidonville du Bengladesh n'ont surement pas pour soucie de cultiver bio...

[Invité]

Les habitant des bidonville du Bengladesh n'ont surement pas pour soucie de cultiver bio...

pas besoin, puisqu'ils n'ont pas les sous pour acheter des pesticides et graines OGM qui vont avec... et ceux qui le font sont vite ruinés et un nombre impressionnant croule sous les dettes et se suicide. ARTICLE

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