Les vertus de la dictature.

[Tatonga]

Une dictature, ce n'est pas fatalement mauvais.
On peut être dictateur, c'est-à-dire avoir les pleins pouvoirs sans la moindre restriction, sans pour autant être despote ou tyrannique, c'est-à-dire sans être sadique.
Dans certaines conjonctures historiques, c'est ce régime politique qui convient le mieux.
Que de peuples ont été heureux sous une dictature !
En connaissez-vous et qu'en pensez-vous ?

[Invité]

Non, aucun exemple que je connaisse.
Ou alors tu dois avoir une définition de ce mot que je ne connais pas.

Par contre j'ai des contre exemple si tu veux. Je te fais une liste?

[Tatonga]

Non, aucun exemple que je connaisse.
Ou alors tu dois avoir une définition de ce mot que je ne connais pas.
Par contre j'ai des contre exemple si tu veux. Je te fais une liste?

Non, je n'ai pas de définition particulière de ce mot.
Ce que j'ai pu constater c'est que les peuples adorent les dictateurs. Ils les idolâtrent, prêts à les suivre partout, même leur sacrifier leur vie.
Combien se sont suicidés de désespoir à la disparition d'un dictateur?
Dictature ne signifie pas forcément atteinte aux droits et libertés. Un dictateur n'est pas forcément tyrannique ou sadique, il pourrait être un bon guide, ferme mais sage.
Comme les démocraties ont beaucoup déçu, porté au pouvoir des menteurs corrompus, inefficaces et incompétent, et n'ont même pas évité les conflits armés, alors pourquoi ne pas opter pour un régime beaucoup plus simple, léger et efficace, moins bureaucratique et moins budgétivore?
Gouverner sans partage, sans perte de temps dans des conciliabules interminables avec toutes sortes de tendances politiques, sans compromis qui finalement aboutissent à des décisions hybrides qui ne ressemblent à rien, à des consensus qui s'obtiennent par des concessions qui finissent par faire oublier le but même recherché, gouverner sans sombrer dans des débats qui finissent par diluer les responsabilités, n'est-ce pas la meilleure méthode de gérer. Là au moins, c'est clair: on sait qui décide, qui agit et qui est responsable.
Mais enfin, toutes ces assemblées dites démocratiques, toutes ces instances et toutes ces institutions démocratiques qui interviennent à tous les échelons de l'Etat au point de le paralyser, sont-elles vraiment utiles.
Il ne faut pas perdre de vue non plus que le premier à gouverner sans partage est bien Dieu.

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