Les Grands Mensonges de la propagande anti-musulmans.

[Tatonga]

Les grands mensonges de la propagande raciste des fascistes, des sionistes et autres extrémistes, contre l'islam et les musulmans.
1/L’islam, une dictature.
Pour accréditer ce gros mensonge, on invoque l’Arabie Saoudite ou l’Iran…
Gros et grossier mensonge.
L’islam n’est pas la dictature, pas plus qu’une autre doctrine ; ce sont des régimes qui se servent de l’islam comme base, comme fondement, pour justifier leur dictature. Toutes les dictatures, tous les fascismes, ont toujours choisi une idéologie du Bien pour prendre le pouvoir et s’y maintenir. A-t-on jamais connu une seule dictature, un seul fascisme revendiquer le Mal, a-t-on jamais entendu un seul dictateur affirmer ne pas avoir comme fondement idéologique, comme idéal le Bien ? Va-t-on alors stigmatiser, diaboliser le Bien sous prétexte qu’il sert (et il a toujours et beaucoup plus servi que l’islam) de fondement idéologique aux dictatures ?
On voit bien là, le sophisme, la supercherie, le tour de passe-passe, des propagandistes menteurs.../...

[gaston21]

Il y a quelques jours, un docu. télé sur le tyran d'Arabie saoudite; des sourires... Mais ceux qu'il fait égorger ou décapiter avant de les couper en morceaux (Turquie...) ne sont plus là pour affirmer que tout était mensonge...L'Iran, est-ce mieux? Je soulève le voile de dames et je le leur demande...

[Tatonga]

2/ L’islam, cause du terrorisme, et les musulmans des terroristes.

Sous prétexte que des résistants se battent pour se défendre, recouvrer leurs droits et leur liberté bafoués, sous prétexte que des milices armées ou des bandes de criminels commettent des crimes en se faisant appeler Moudjahiddine et en criant Allah Akbar, on conclut qu’ils s’agit d’islamistes devenus fous à cause de l’islam.
MENSONGE ! C’est le raccourci qu’empruntent les menteurs pour tromper.
On n’en veut pour preuve qu’un seul exemple : la Révolution algérienne.

Les combattants se faisaient appeler Moudjahiddine, leur combat s’appelait le Djihad, et on entendait fuser partout Allah Akbar, Allah Akbar. Mais il n’y a pas eu pour autant de leaders politiques ou de chefs militaires islamistes de la Révolution algérienne ; l’islam n’a jamais été l’idéal de ce combat, l’islamisme n’a pas été une revendication du peuple en lutte  et aucun des pouvoirs qui se sont succédé après l’indépendance n’a instauré une République islamique, bien que des institutions mises en place aient été  empreintes de quelques valeurs et principes inspirés de l’islam, il fallait bien que le peuple s’y reconnaisse. Merde ! On n’allait  quand même pas proclamer que nos ancêtres étaient les Gaulois ou  mettre en place un Etat sioniste, ou des institutions totalement étrangères aux sentiments d’un peuple meurtri, ignorent sa culture et son identité ! Mais à aucun moment, il n’a été dans les vues de la direction politique du soulèvement armé  d’instaurer à proprement parler une République islamiste. Bien au contraire, les confréries religieuses, les associations et autres groupements religieux, qui existaient à l’époque,  privilégiaient d’autres options que la guerre, n’ont jamais été partants pour le combat libérateur et n’y ont pas participé en tant que tels.
C’est bien la preuve que les mots Moudjahidine, djihad, Allah Akbar, qui avaient largement cours, qui étaient clamés partout, ne signifient nullement qu’il s’agit d’islamistes, ni d’affrontements entre confessions.

Alors  que signifient Moudjahidine, Djihad, Allah Akbar? C’est là que réside le subterfuge, le tour de passe-passe. Pour les facho-sionistes de *****, si des combattants de la liberté empruntent ces mots au langage religieux, c’est qu’il s’agit d’islamistes, maquette représentative des musulmans ; si des groupes criminels les brandissent pour commettre des exactions, rançonner et faire commerce de la drogue, c’est l’islam et les musulmans qui sont en cause. L’islam agirait comme une drogue forte pour rendre fous ces groupes. Des fous, plutôt follement adorateurs des dollars qu’ils amassent, non ? N’est-ce pas plutôt le dollar qui les drogue ?

Si Ben Laden recrute à prix d’or des milices pour se bagarrer avec son ami Bush en criant Allah Akbar ou Bush de merde, qu’est-ce que les musulmans en ont à f***** ?
On feint d’ignorer que les musulmans sont les premiers à pâtir de cette criminalité et sont les premiers à la combattre.

Mais tout cela est bien dépassé, les facho-sionistes ont trouvé mieux pour élargir l’impact de leur propagande. Si un mec est brun et qu’il se fâche, ou se bagarre, proteste, ou parle arabe, dorme ou chie, cela suffit, ils sautent sur l’occasion pour le déclarer  islamiste-intégriste-fondamentaliste-terroriste.

[Tatonga]

3/L’islam incompatible avec la liberté d’expression et la critique de religion.
Ah oui, les musulmans, ils savent pas réfléchir, ils savent juste braire Allah Akbar.
Il y a bien de nombreux schismes et diverses écoles juridiques, qui, tout en se rejetant réciproquement, ont toujours coexisté pacifiquement, sauf bien sûr quand des considérations politiques de prise de pouvoir s’en mêlent. Cette diversité acceptée résulte bien d’interprétations différentes et de réflexions nécessairement critiques du Coran.

Une critique de religion, comme toute critique, philosophique, scientifique, artistique, littéraire, ne doit-elle pas être une réflexion constructive et objective, dans le but d’éduquer, d’orienter, d’éclairer, d’éviter les errements, d’éveiller les consciences ; ne doit-elle pas requérir des connaissances et des compétences ; le sujet étant très sensible, ne doit-elle pas être prudente pour ne pas blesser quand il s’agit de signaler un travers, voire empreinte de sympathie pour être acceptée et atteindre son objectif pédagogique ?
C’est ça, ce que doit être une critique ou je suis un âne !

Mais des salauds partout, des sionistes alliés aux pires extrémistes, dans les médias en tout genre, dans les sphères politiques d’un Occident pris en otage par le sionisme, veulent nous faire croire :
-que le blasphème est un droit, non pas seulement de dire que Dieu est un con, mais qui autorise aussi et surtout n’importe quel énergumène éméché de jeter à la face du premier brun rencontré : TON Dieu est une merde, et que ce n’est pas là une insulte personnelle.
-que la critique de religion est le droit donné à n’importe quel hurluberlu de jeter à la face de tout brun croisé : TON Dieu est une merde, et que ce dernier doit se la fermer parce que c’est un droit de critique légal.

C’est une liberté d’expression, proclame-t-on, une liberté d’insulter, et c’est elle qui taxe de haine toute contradiction qui viendrait gêner et démasquer la propagande raciste facho-sioniste.

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