L'empreinte du milieu.
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L'empreinte du milieu.
Le Coran a beaucoup souffert d’avoir été « révélé » en Arabie. Il a été fortement et négativement marqué par les mœurs de la localité. Le verset 53 de la sourate 33 est fort révélateur à ce propos.
Ô croyants ! N’entrez dans les demeures du Prophète que si vous êtes invités à un repas. Évitez d’être là à attendre que le repas soit prêt. Quand vous êtes invités, entrez et après avoir mangé, dispersez-vous, sans vous livrer à des propos familiers. En vérité, cela offenserait le Prophète qui aurait honte de vous en faire part. Mais Dieu n’a pas honte de dire la vérité. Quand vous demandez quelque chose aux épouses du Prophète, faites-le derrière un voile. Vos cœurs et les leurs n’en seront que plus purs. Vous ne devez pas offenser l’Envoyé de Dieu ni épouser ses femmes après lui. Ce serait une énormité auprès de Dieu.
Ce verset n’est pas fortuit, le Prophète savait que ses compatriotes fantasmaient sur tout jupon qu’ils voyaient et ne se privaient pas de harceler les femmes à la moindre occasion. Il savait que même ses amis qu’il invitait à la maison n’hésiteraient pas à trahir son hospitalité pour sauter ses femmes, tout prophète qu’il était.
C’est bien pour cette raison que ce verset a été « révélé ». Il n’est pas là pour rien.
Inutile d’insister et de multiplier les exemples de versets révélateurs de ces mœurs détraquées, ils sont très nombreux et chacun saura les trouver.
Le corpus coranique fourmille d’indices qui témoignent des dérèglements sexuels qui sévissaient dans cette contrée d’Arabie. C’est en effet cela qui explique le traitement que fait le Coran des femmes : la polygamie, les captives de guerre réduites en esclaves sexuelles, le voile (car une simple chevelure pouvaient exciter ces hommes souffrant de frustrations), les houris promises comme récompense au paradis, etc. Même le mariage est envisagé uniquement sous l’angle de rapports sexuels, il n’est question en effet que de « mariage pour jouir des femmes qui plaisent ».
Les faits sont parlants, indéniables. A quoi cette situation était-elle due, pourquoi ces hommes étaient-ils constamment en rut, est-ce à cause de la qualité de l’eau ou de la qualité de l’air ? On ne sait.
Quatorze siècles après, rien n’a changé, on retrouve toujours dans cette Arabie les mêmes Chéikhs lubriques et un Quardaoui de 85 ans qui se remarie pour la 328546° fois de sa vie.
Ce qui est flagrant est flagrant, ce qui est évident est évident.
La vérité doit être dite, quel intérêt y a-t-il à la cacher, à la travestir ou à la traficoter ?
Ô croyants ! N’entrez dans les demeures du Prophète que si vous êtes invités à un repas. Évitez d’être là à attendre que le repas soit prêt. Quand vous êtes invités, entrez et après avoir mangé, dispersez-vous, sans vous livrer à des propos familiers. En vérité, cela offenserait le Prophète qui aurait honte de vous en faire part. Mais Dieu n’a pas honte de dire la vérité. Quand vous demandez quelque chose aux épouses du Prophète, faites-le derrière un voile. Vos cœurs et les leurs n’en seront que plus purs. Vous ne devez pas offenser l’Envoyé de Dieu ni épouser ses femmes après lui. Ce serait une énormité auprès de Dieu.
Ce verset n’est pas fortuit, le Prophète savait que ses compatriotes fantasmaient sur tout jupon qu’ils voyaient et ne se privaient pas de harceler les femmes à la moindre occasion. Il savait que même ses amis qu’il invitait à la maison n’hésiteraient pas à trahir son hospitalité pour sauter ses femmes, tout prophète qu’il était.
C’est bien pour cette raison que ce verset a été « révélé ». Il n’est pas là pour rien.
Inutile d’insister et de multiplier les exemples de versets révélateurs de ces mœurs détraquées, ils sont très nombreux et chacun saura les trouver.
Le corpus coranique fourmille d’indices qui témoignent des dérèglements sexuels qui sévissaient dans cette contrée d’Arabie. C’est en effet cela qui explique le traitement que fait le Coran des femmes : la polygamie, les captives de guerre réduites en esclaves sexuelles, le voile (car une simple chevelure pouvaient exciter ces hommes souffrant de frustrations), les houris promises comme récompense au paradis, etc. Même le mariage est envisagé uniquement sous l’angle de rapports sexuels, il n’est question en effet que de « mariage pour jouir des femmes qui plaisent ».
Les faits sont parlants, indéniables. A quoi cette situation était-elle due, pourquoi ces hommes étaient-ils constamment en rut, est-ce à cause de la qualité de l’eau ou de la qualité de l’air ? On ne sait.
Quatorze siècles après, rien n’a changé, on retrouve toujours dans cette Arabie les mêmes Chéikhs lubriques et un Quardaoui de 85 ans qui se remarie pour la 328546° fois de sa vie.
Ce qui est flagrant est flagrant, ce qui est évident est évident.
La vérité doit être dite, quel intérêt y a-t-il à la cacher, à la travestir ou à la traficoter ?
Tatonga- Admin
- Messages : 7387
Date d'inscription : 11/11/2015
Age : 48
Re: L'empreinte du milieu.
C'est parce que cet environnement, ce milieu-là favorise le développement d'animaux à sang chaud, en rut quoi ptdr
Ase
Ase
Ase- Messages : 964
Date d'inscription : 18/11/2015
Age : 42
Localisation : Strasbourg
Re: L'empreinte du milieu.
Et même Allah se laisse prendre à leur jeu.Ase a écrit:C'est parce que cet environnement, ce milieu-là favorise le développement d'animaux à sang chaud, en rut quoi ptdr
Ase
Au lieu de leur dire: " stoppe, arrêtez vos délires sexuels, réfrénez vos pulsions dégoûtantes"
Eh bien non, il se laisse prendre au jeu, il entre dans la danse et distribue des persmissions, des autorisations: 4 femmes+ les exclaves+ les concubines, etc en nombre illimité.
Et ce qui devait être un mariage avec une épouse est devenu par la grâce d'Allah une orgie.
Mais enfin, c'est quoi ces conneries ?
Tatonga- Admin
- Messages : 7387
Date d'inscription : 11/11/2015
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