La création en poème
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La création en poème
Tu dis que la conscience ne va pas sans le corps,
Et sur ce point, ma chère, nous sommes bien d'accord;
De mon raisonnement, tu as trouvé la faille
Et je dois par l'esprit repartir en bataille.
Je postule en prémisse que le tout est esprit
De la simplicité ce monisme est le prix.
De la même façon qu'un œil ne peut se voir,
Sans le regard d'un autre qui lui sert de miroir,
Cet esprit, étant Un ne peut se contempler
D'un Autre il a besoin en vue de s'accoupler,
A cette pensée forte, on peut dire qu'il s'annule
En poussière de diamants que sont les particules,
En étincelles d'Être qui sont toutes des dieux,
Chacune désirant occuper tous les lieux.
L'autre est alors lui-même, dispersé dans l'abîme,
En multiples éons* que le désir anime,
Qui sentent, qui s'émeuvent et qui cherchent l'amour
Et se heurtent parfois dans leurs puissants parcours.
Ils s'unissent alors, formant une entité
Lorsqu'ils sont compatibles dans leur diversité
Et la vie apparaît lors de cette fusion,
Sous forme d'un orgasme ou d'une communion,
Formant des molécules,
Ensuite des cellules.
Ainsi, de proche en proche de nouvelles structures,
En emplissant le vide, poursuivent l'aventure.
Au hasard des rencontres, parfois elles se détruisent
Mais plus souvent encore, leur structure est acquise,
Le nombre des atomes isolés s'amenuise.
De cette orgie cosmique, émergent les humains,
Formant l'humanité et tenant dans leurs mains
L'avenir du monde dont un jour, peut-être,
Emergera la vie réunifiée et l'ÊTRE.
*PHILOSOPHIE. Puissance spirituelle émanant d'un principe suprême et caractéristique des gnoses néoplatoniciennes. Les gnostiques ont vu leurs éons dans ces fils de Dieu; et peut-être les anges et les diables ne se seraient-ils pas introduits facilement dans le christianisme sans cette porte que la genèse mal comprise leur laissa ouverte (P. Leroux, Humanité,t. 2, 1840p. 628).
Et sur ce point, ma chère, nous sommes bien d'accord;
De mon raisonnement, tu as trouvé la faille
Et je dois par l'esprit repartir en bataille.
Je postule en prémisse que le tout est esprit
De la simplicité ce monisme est le prix.
De la même façon qu'un œil ne peut se voir,
Sans le regard d'un autre qui lui sert de miroir,
Cet esprit, étant Un ne peut se contempler
D'un Autre il a besoin en vue de s'accoupler,
A cette pensée forte, on peut dire qu'il s'annule
En poussière de diamants que sont les particules,
En étincelles d'Être qui sont toutes des dieux,
Chacune désirant occuper tous les lieux.
L'autre est alors lui-même, dispersé dans l'abîme,
En multiples éons* que le désir anime,
Qui sentent, qui s'émeuvent et qui cherchent l'amour
Et se heurtent parfois dans leurs puissants parcours.
Ils s'unissent alors, formant une entité
Lorsqu'ils sont compatibles dans leur diversité
Et la vie apparaît lors de cette fusion,
Sous forme d'un orgasme ou d'une communion,
Formant des molécules,
Ensuite des cellules.
Ainsi, de proche en proche de nouvelles structures,
En emplissant le vide, poursuivent l'aventure.
Au hasard des rencontres, parfois elles se détruisent
Mais plus souvent encore, leur structure est acquise,
Le nombre des atomes isolés s'amenuise.
De cette orgie cosmique, émergent les humains,
Formant l'humanité et tenant dans leurs mains
L'avenir du monde dont un jour, peut-être,
Emergera la vie réunifiée et l'ÊTRE.
*PHILOSOPHIE. Puissance spirituelle émanant d'un principe suprême et caractéristique des gnoses néoplatoniciennes. Les gnostiques ont vu leurs éons dans ces fils de Dieu; et peut-être les anges et les diables ne se seraient-ils pas introduits facilement dans le christianisme sans cette porte que la genèse mal comprise leur laissa ouverte (P. Leroux, Humanité,t. 2, 1840p. 628).
Re: La création en poème
Geveil, tu écris mille fois mieux en vers qu'en prose.
Tatonga- Admin
- Messages : 7402
Date d'inscription : 11/11/2015
Age : 48
Re: La création en poème
Tu es un artiste poète qui a transcendé la façon de communiquer toute animale, qu'on appelle le langage articulé.geveil a écrit:Dans ce cas, c'est un million de fois bien.
Tatonga- Admin
- Messages : 7402
Date d'inscription : 11/11/2015
Age : 48
Re: La création en poème
Dans son infini désir de vivre, l'Être suprême veut tout connaître, le raton laveur, le conducteur de métro, la fleur vénéneuse, le moustique piqueur, l'arbre millénaire, le heurt des galaxie, la naissance et la mort des soleils, le tueur à gages, le bourreau et sa victime, l'ivresse du pouvoir et la paix de l'humilité, le froid et le chaud, la compassion et la haine, tout. C'est de son sein que naissent d'horribles créatures, car l'Être suprême aime aussi se faire peur, comme les petites enfants. Toutefois il commence seulement à prendre conscience que tout n'est pas bon pour lui, il l'a toujours su au fond de lui-même, mais c'est seulement maintenant qu'il en est conscient, et il va bientôt retourner les démons pour en faire des êtres d'amour et de lumière.
Re: La création en poème
Amin-Amen
Voilà un pieu désir. Mais rien ne laisse plus présager ce scénario qu'un autre. En fait je crois que l’Être suprême a créé le monde, un monde détaché de Lui libre de mettre en œuvre le bien qui vient de la création et qui est au service de la vie ou bien de détruire et se mettre au service de la mort. La création a quelque chose du créateur, mais elle n'est pas Lui.
Tes enfants ont tes gènes Geveil, certains de tes mots, de tes idées, des expressions de ton visage, mais ils sont eux. Tu vis un peu a travers eux, tu aimes leur enfants comme tu as aimé les tiens, quand tu partiras, tu seras encore un peu là en eux. Mais ils ne sont pas toi.
Voilà un pieu désir. Mais rien ne laisse plus présager ce scénario qu'un autre. En fait je crois que l’Être suprême a créé le monde, un monde détaché de Lui libre de mettre en œuvre le bien qui vient de la création et qui est au service de la vie ou bien de détruire et se mettre au service de la mort. La création a quelque chose du créateur, mais elle n'est pas Lui.
Tes enfants ont tes gènes Geveil, certains de tes mots, de tes idées, des expressions de ton visage, mais ils sont eux. Tu vis un peu a travers eux, tu aimes leur enfants comme tu as aimé les tiens, quand tu partiras, tu seras encore un peu là en eux. Mais ils ne sont pas toi.
Invité- Invité
Re: La création en poème
Pour m'amuser...
Création.
Le monde était néant. Dieu au ciel se lassait !
« Que pourrais-je donc faire pour noyer mon ennui » ?
Se dit-il, courroucé. Lucifer le rasait,
Mais il n’avait que lui comme unique souci.
Alors il s’est lancé dans son œuvre mythique,
Déployant son talent, son génie sans limites ;
Du lent tyrannosaure au plus fin des moustiques,
Du fin cacatoès à la timide mite.
Un casting parfait, une œuvre fantastique .
Manquait le ver fatal qui la ferait sombrer !
Un gros balourd béat émergé des ténèbres,
Ebloui par la Femme à la beauté mystique,
Dont les atouts touchants par l’amour agacés,
Le conduiraient , pantois, sur les chemins funèbres.
Création.
Le monde était néant. Dieu au ciel se lassait !
« Que pourrais-je donc faire pour noyer mon ennui » ?
Se dit-il, courroucé. Lucifer le rasait,
Mais il n’avait que lui comme unique souci.
Alors il s’est lancé dans son œuvre mythique,
Déployant son talent, son génie sans limites ;
Du lent tyrannosaure au plus fin des moustiques,
Du fin cacatoès à la timide mite.
Un casting parfait, une œuvre fantastique .
Manquait le ver fatal qui la ferait sombrer !
Un gros balourd béat émergé des ténèbres,
Ebloui par la Femme à la beauté mystique,
Dont les atouts touchants par l’amour agacés,
Le conduiraient , pantois, sur les chemins funèbres.
gaston21- Messages : 2436
Date d'inscription : 17/12/2016
Age : 91
Re: La création en poème
De gaston! Mais il est vrai que je devrais faire des efforts...
gaston21- Messages : 2436
Date d'inscription : 17/12/2016
Age : 91
Re: La création en poème
La vie était simple et bien belle.
Pour s' expliquer, elle n' avait besoin que d' elle.
A elle même, elle se suffisait et petit à petit, croissait.
Mais a force de croitre, elle se complexifiait.
De milles merveilles elle se mit à se parer.
Oiseau paradisier, fourmis esclavagistes,
Baleine à bosse ou humains unijambistes,
On avait de tout, ici, et chacun s' exerçait à penser.
Mais un singe un jour a commis une faute.
Plutot que de la reconnaitre, il s' y est enferré.
D' un mythe, il a voulu faire une réalité.
Bien vite, il a fait des moutons avec des gens de la Haute.
Ensemble, ils ont commencé à tuer les esprits.
Retors, critiques, scientifiques, tout y est passé.
"Pense comme moi, ou je te tue" disait celui qui se pensait Grand esprit.
"Ouille ouille, pas sur la tête" disaient les victimes avant que le feu ne les prit.
Dans ces buchers barbares disparurent les plus fins de l' époque.
L' obscurité avait gagné pour longtemps, la recherche était morte.
L' intelligence s' était enfuie, après avoir doucement fermé la porte.
Ce fut le regne des sornettes, des dogmes dont maintenant on se moque.
Mais des siecles plus tard, les graines oubliées ont germées.
Et la raison est revenue chez certains hommes. Ils ont défrichés,
Explorés, observés et surtout ils ont rouvert la porte fermée.
"Foin de vos licornes. Remballez vos anges et au derche mettez-vous vos colifichets."
"Nous ne voulons plus de vos histoires à rire debout. Manger un dieu?
Et puis quoi encore? Croire que le soleil danse, pendant qu' on y est?
Dans un endroit sombre de votre corps, rangez vos mensonges pieux.
Nous éteindrons vos buchers avec l' eau de la vérité. Pour les fous, gardez votre abstrait"
Le combat fit rage un siecle ou deux. L' un des camps à ses mythes s' accrochait
Un peu comme comme la moule aveugle et sourde à son rocher.
L' autre progressait, étudiait le monde, avançait et découvrait.
Et non sans raison, ce siecle fut appelé Lumières, car il montrait le vrai.
De nos jours, il reste encore des traces de cette guerre de la raison contre la folie.
Sur le champs de bataille, des vétérans épargnés persistent à crier qu' ils aiment les incendies.
Mais leurs heures sont comptées et le moment s' approche ou ils rejoindront leurs lits.
Fatigués et usés, ils rappellent ce soldat japonais qui n' a su que trente ans après que la guerre était finie.
Ainsi va le monde. Nous construisons des avions à réaction et envoyons des gens sur la lune.
Et la médecine sauve des vies chaque jour, ce qui est bel et bien bon.
Les buchers brulent encore mais de moins en moins, parce que nous refusons d' etre pris pour des prunes.
Ainsi, l' obscurantisme retourne doucement à l' obscurité. Laissons les licornes pour les cons.
Ce poème aux rimes defectueuses et aux pieds boiteux est dédié à Lucas Reynolds, mort en 2009 à 19 ans en pleine église dans l' état de new york, tabassé à mort par ses parents, son pasteur et le reste des ouailles parce qu' il ne croyait pas ce que les autres voulaient le forcer à croire.
Il est aussi dédié à toutes les victimes de toutes les religions.
Pour s' expliquer, elle n' avait besoin que d' elle.
A elle même, elle se suffisait et petit à petit, croissait.
Mais a force de croitre, elle se complexifiait.
De milles merveilles elle se mit à se parer.
Oiseau paradisier, fourmis esclavagistes,
Baleine à bosse ou humains unijambistes,
On avait de tout, ici, et chacun s' exerçait à penser.
Mais un singe un jour a commis une faute.
Plutot que de la reconnaitre, il s' y est enferré.
D' un mythe, il a voulu faire une réalité.
Bien vite, il a fait des moutons avec des gens de la Haute.
Ensemble, ils ont commencé à tuer les esprits.
Retors, critiques, scientifiques, tout y est passé.
"Pense comme moi, ou je te tue" disait celui qui se pensait Grand esprit.
"Ouille ouille, pas sur la tête" disaient les victimes avant que le feu ne les prit.
Dans ces buchers barbares disparurent les plus fins de l' époque.
L' obscurité avait gagné pour longtemps, la recherche était morte.
L' intelligence s' était enfuie, après avoir doucement fermé la porte.
Ce fut le regne des sornettes, des dogmes dont maintenant on se moque.
Mais des siecles plus tard, les graines oubliées ont germées.
Et la raison est revenue chez certains hommes. Ils ont défrichés,
Explorés, observés et surtout ils ont rouvert la porte fermée.
"Foin de vos licornes. Remballez vos anges et au derche mettez-vous vos colifichets."
"Nous ne voulons plus de vos histoires à rire debout. Manger un dieu?
Et puis quoi encore? Croire que le soleil danse, pendant qu' on y est?
Dans un endroit sombre de votre corps, rangez vos mensonges pieux.
Nous éteindrons vos buchers avec l' eau de la vérité. Pour les fous, gardez votre abstrait"
Le combat fit rage un siecle ou deux. L' un des camps à ses mythes s' accrochait
Un peu comme comme la moule aveugle et sourde à son rocher.
L' autre progressait, étudiait le monde, avançait et découvrait.
Et non sans raison, ce siecle fut appelé Lumières, car il montrait le vrai.
De nos jours, il reste encore des traces de cette guerre de la raison contre la folie.
Sur le champs de bataille, des vétérans épargnés persistent à crier qu' ils aiment les incendies.
Mais leurs heures sont comptées et le moment s' approche ou ils rejoindront leurs lits.
Fatigués et usés, ils rappellent ce soldat japonais qui n' a su que trente ans après que la guerre était finie.
Ainsi va le monde. Nous construisons des avions à réaction et envoyons des gens sur la lune.
Et la médecine sauve des vies chaque jour, ce qui est bel et bien bon.
Les buchers brulent encore mais de moins en moins, parce que nous refusons d' etre pris pour des prunes.
Ainsi, l' obscurantisme retourne doucement à l' obscurité. Laissons les licornes pour les cons.
Ce poème aux rimes defectueuses et aux pieds boiteux est dédié à Lucas Reynolds, mort en 2009 à 19 ans en pleine église dans l' état de new york, tabassé à mort par ses parents, son pasteur et le reste des ouailles parce qu' il ne croyait pas ce que les autres voulaient le forcer à croire.
Il est aussi dédié à toutes les victimes de toutes les religions.
Bassmeg- Messages : 277
Date d'inscription : 27/06/2019
Age : 44
Re: La création en poème
Le chemin de la vieillesse...Pour vous remonter le moral avant l'automne...
O rage, ô désespoir, ô vieillesse ennemie
Ce matin, de bonne heure, sous la pluie, le vieux schnoque
Arpentait ses sentiers, insouciant qu’on le moque !
L’œil au loin , méditant, ou vers son épagneul
Dirigeant son regard, tous les deux seul et seul…
Bien loin de ses pensées, tous ces brillants esprits
Satisfaits et repus, sur leur censuré bien assis,
Qui se targuent, les fats, d’écraser tous les autres,
Et contemplent d’en haut les valets qui se vautrent…
Pépé, prends tes gougouttes, sinon tu vas baver,
Ou pire, dans tes couches, t’oublier mollement…
A ton âge, je sais, le pire peut arriver…
Jadis, à ce niveau, on trouvait du mastoc…
Aujourd’hui, je le crains, est-ce de l’entérocoque ?
Je ne trouve même plus où sont tes pendeloques…
O rage, ô désespoir, ô vieillesse ennemie
Ce matin, de bonne heure, sous la pluie, le vieux schnoque
Arpentait ses sentiers, insouciant qu’on le moque !
L’œil au loin , méditant, ou vers son épagneul
Dirigeant son regard, tous les deux seul et seul…
Bien loin de ses pensées, tous ces brillants esprits
Satisfaits et repus, sur leur censuré bien assis,
Qui se targuent, les fats, d’écraser tous les autres,
Et contemplent d’en haut les valets qui se vautrent…
Pépé, prends tes gougouttes, sinon tu vas baver,
Ou pire, dans tes couches, t’oublier mollement…
A ton âge, je sais, le pire peut arriver…
Jadis, à ce niveau, on trouvait du mastoc…
Aujourd’hui, je le crains, est-ce de l’entérocoque ?
Je ne trouve même plus où sont tes pendeloques…
gaston21- Messages : 2436
Date d'inscription : 17/12/2016
Age : 91
Re: La création en poème
Bassmeg, je voulais t'envoyer un message perso mais ce n'est pas possible. Me permettrais-tu de peaufiner ton beau poème pour faire des alexandrins?
Gaston, que veut dire " assis sur le censuré"? Ah oui, j'ai compris c'est une correction automatique . Que c'est c.....
Gaston, que veut dire " assis sur le censuré"? Ah oui, j'ai compris c'est une correction automatique . Que c'est c.....
Dernière édition par geveil le Dim 1 Sep - 12:21, édité 1 fois
Re: La création en poème
Petites retouches:gaston21 a écrit:Le chemin de la vieillesse...Pour vous remonter le moral avant l'automne...
O rage, ô désespoir, ô vieillesse ennemie
Ce matin, de bonne heure, sous la pluie, le vieux schnoque
Arpentait ses sentiers, insouciant qu’on le moque !
L’œil au loin , méditant, ou vers son épagneul
Dirigeant son regard, tous les deux seul et seul…
Bien loin de ses pensées, tous ces brillants esprits
Satisfaits et repus, sur leur censuré bien assis,
Qui se targuent, les fats, d’écraser tous les autres,
Et contemplent d’en haut les valets qui se vautrent…
Pépé, prends tes gougouttes, sinon tu vas baver,
Ou pire, dans tes couches, t’oublier mollement…
A ton âge, je sais, le pire peut arriver…
Jadis, à ce niveau, on trouvait du mastoc…
Aujourd’hui, je le crains, est-ce de l’entérocoque ?
Je ne trouve même plus où sont tes pendeloques…
Ce matin, de bonne heure, sous la pluie, le vieux schnoque
Arpentait les sentiers, insouciant qu’on le moque !
Méditant l’œil au loin ou, vers son épagneul
Dirigeant son regard, tous les deux seul à seul…
Bien loin de ses pensées, tous ces brillants esprits
Satisfaits et repus, sur leur derrière assis,
Qui se targuent, les fats, d’écraser tous les autres,
Et contemplent d’en haut les valets qui se vautrent…
Pépé, prends tes gougouttes, sinon tu vas baver,
Ou pire, dans tes couches, t’oublier mollement…
A ton âge, je le sais, le pire peut arriver…
Jadis, à ce niveau, on trouvait du mastoc…
Aujourd’hui, je le crains, est-ce de l’entérocoque ?
Je ne vois même plus où sont tes pendeloques…
Ouais, l'incontinence due à l'adénome de la prostate, je connais, baver, pas encore, quand aux pendeloques, elles sont toujours là mais ne servent plus à rien hélas.
Re: La création en poème
geveil a écrit:Bassmeg, je voulais t'envoyer un message perso mais ce n'est pas possible. Me permettrais-tu de peaufiner ton beau poème pour faire des alexandrins?
Salut Geveil.
Je comprends pas pourquoi c' est pas possible d' envoyer des MP, alors je vais utiliser la parcimonie et penser que c' est juste un bug.
Si tu veux peaufiner mon poême et que tu as la motivation homérique de remettre les pieds sur un pieds d' égalité pour en faire des alexandrins, c' est sans souci et ce sera avec un plaisir immense que je lirais le résultat (plaisir qui restera immense tant que tu restes fidèle au sens global du texte, et je doute pas une seconde que c' est ce que tu feras.).
J' ai grand hate de lire ta version.
Bassmeg- Messages : 277
Date d'inscription : 27/06/2019
Age : 44
Re: La création en poème
Tu vas utiliser la parcimonie et penser que juste un bug ! Salope.Bassmeg a écrit:
Salut Geveil.
Je comprends pas pourquoi c' est pas possible d' envoyer des MP, alors je vais utiliser la parcimonie et penser que c' est juste un bug.
Tu as déjà écrit à Astra qu'Amandine te privait de MP pour te punir d'être athée.
T'as qu'à le redire c'est tout, pourquoi user de parcimonie ?
Tu n'as pas honte de calomnier tes hôtes, les critiquer d'accord, mais les calomnier ?
Amandine te punir d'être athée !!!! Va te laver, va, pouffiasse !!!
Tatonga- Admin
- Messages : 7402
Date d'inscription : 11/11/2015
Age : 48
Re: La création en poème
Geveil, ton message m' a rebooster.
Sens toi libre de peaufiner ma première version en alexandrins, moi, de mon coté, je vais recommencer de zéro, sur le même thème, mais en m' affranchissant du texte d' origine. En m' essayant aux alexandrins réglo, cette fois. Je vais faire de mon mieux, mais je doute que je fasses mieux que toi. On va bien voir.
A bientot pour comparer les résultats.
Sens toi libre de peaufiner ma première version en alexandrins, moi, de mon coté, je vais recommencer de zéro, sur le même thème, mais en m' affranchissant du texte d' origine. En m' essayant aux alexandrins réglo, cette fois. Je vais faire de mon mieux, mais je doute que je fasses mieux que toi. On va bien voir.
A bientot pour comparer les résultats.
Bassmeg- Messages : 277
Date d'inscription : 27/06/2019
Age : 44
Re: La création en poème
Mais ce n'est pas possible d'être sur un forum de spiritualité et de lire de telles insultes. Tatonga, je te croyais bien au dessus de cela, mais maintenant, tu es disqualifié.Tatonga a écrit:
Amandine te punir d'être athée !!!! Va te laver, va, pouffiasse !!!
Re: La création en poème
Sens toi libre de peaufiner ma première version en alexandrins,[quote="Bassmeg"] Je n'y arrive pas.
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