Portrait des négateurs de crimes.
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Portrait des négateurs de crimes.
L’objectif des négateurs de crimes est de neutraliser la dénonciation et d’imposer le silence sur les crimes qui se commettent.
La démarche des négateurs consiste à nier la réalité des faits envers et contre tout, à des fins racistes ou politiques, pour protéger les auteurs de génocides et leurs complices.
Les négateurs de crimes maquillent les faits, les falsifient ou les contestent, ou les justifient en diabolisant les victimes.
Les négateurs de crimes ne sont pas dans l’erreur, ils sont dans le mensonge délibéré. Leur souci n’est pas la recherche de la vérité, fort connue au demeurant, mais de la nier aussi aveuglante soit-elle et quelles que soient les preuves.
Les négateurs de crimes revendiquent la liberté d’expression et d’opinion pour étaler leurs mensonges, or ce qu’ils expriment est une fraude, pas une opinion.
Laisser s'exprimer la négation des crimes dans l’espace public au nom de la liberté d’expression et d’opinion, c’est mettre sur un même pied la dénonciation des crimes et la négation des crimes. C’est reconnaitre à cette dernière la même recevabilité, la même légitimité et la même respectabilité que n’importe qu’elle autre opinion.
Et c’est la réalité des hécatombes et des génocides qui se trouve elle-même ramenée à une simple opinion, à un échange d’opinions, devient question d’opinions, et donc niée en tant que réalité.
La démarche des négateurs consiste à nier la réalité des faits envers et contre tout, à des fins racistes ou politiques, pour protéger les auteurs de génocides et leurs complices.
Les négateurs de crimes maquillent les faits, les falsifient ou les contestent, ou les justifient en diabolisant les victimes.
Les négateurs de crimes ne sont pas dans l’erreur, ils sont dans le mensonge délibéré. Leur souci n’est pas la recherche de la vérité, fort connue au demeurant, mais de la nier aussi aveuglante soit-elle et quelles que soient les preuves.
Les négateurs de crimes revendiquent la liberté d’expression et d’opinion pour étaler leurs mensonges, or ce qu’ils expriment est une fraude, pas une opinion.
Laisser s'exprimer la négation des crimes dans l’espace public au nom de la liberté d’expression et d’opinion, c’est mettre sur un même pied la dénonciation des crimes et la négation des crimes. C’est reconnaitre à cette dernière la même recevabilité, la même légitimité et la même respectabilité que n’importe qu’elle autre opinion.
Et c’est la réalité des hécatombes et des génocides qui se trouve elle-même ramenée à une simple opinion, à un échange d’opinions, devient question d’opinions, et donc niée en tant que réalité.
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